Venu(e)s d’ailleurs, où sont passées nos compétences ? : Différence entre versions

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(Plan de la page)
(Première partie du débat)
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=== Deuxième groupe, avec Soleyman ===
 
=== Deuxième groupe, avec Soleyman ===
  
  1.4.1.1. Raconte son histoire
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=== Troisième groupe avec Viviana ===
  
1.4.2. Du bord de l'Euphrate aux bords de la Meuse
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=== Quatrième groupe avec Hamide ===
  
1.4.3. Réfugié de guerre
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== Débat final ==
  
1.4.4. Passeurs profiteurs
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L'assistance regrette l'absence des élus (une conseillère communale est restée cependant toute la soirée) dans cette salle de l'Hôtel de Ville de Huy… Certains pointent le peu de participation des associations ou services en rapport avec les migrants.
  
  1.4.4.1. Conditions abominables
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Le Cripel est cependant officiellement représenté. Il distribue notamment des informations concernant l'équivalence des diplômes. Il semble que cela bouge à ce niveau. La consultation y est gratuite pour les réfugiés. Il seraient souhaitable que la gratuité soit également accordée aux migrants non réfugiés.
  
  1.4.4.2. Force de caractère nécessaire
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Une orientation est également proposée par le plan de cohésion sociale, qui définit une politique d'intégration plus axée sur l'accueil. Mais c'est l'ensemble des structures d'accueil des migrants qui doivent recevoir les moyens nécessaires à leurs missions.
  
1.4.5. Prix exorbitant du voyage
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Faire sa place dans un nouveau pays est un travail de longue haleine, car il faut passer par les administrations communales, du Forem, des CPAS, qui peuvent évoquer des mastodontes pour les migrants.
  
  1.4.5.1. Seuls instruits avec ressources suffisantes peuvent s'offrir le voyage
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Certains services sont d'ailleurs aujourd'hui remis en question.
  
1.4.6. Parcours d'intégration difficile
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Le combat des associations pour la conscientisation des services publics est plus que jamais nécessaire. L'action citoyenne doit aussi réveiller les élus et leur prouver toute l'importance que requiert la situation des migrants.
  
1.4.7. Demandeur d'asile
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Avant même le parcours d'accueil, dès que le migrant arrive, il doit savoir ce qu'il doit faire, connaître "les premiers gestes" : qui rencontrer ? L'idéal serait de désigner une personne référente susceptible de l'accompagner dans ses démarches. Sur notre territoire, le Service prévention et le Plan de Cohésion Sociale apportent une aide, mais les moyens sont insuffisants pour tous les services et les associations actives. La réalité économique implique que moins de travailleurs sont disponibles pour cette mission.
  
1.4.8. Propriétaires difficile
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Un accueil de qualité nécessiterait qu'on prenne le temps de se consacrer aux migrants, sans négliger les aspects humains du métier.
  
  1.4.8.1. Odieux même
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Les travailleurs ne se sentent pas non plus valorisés dans leur travail.
 
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1.4.9. Solitude
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  1.4.9.1. Inquiétude pour famille
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    1.4.9.1.1. Situation dramatique du pays
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    1.4.9.1.2. Angoisse
+
 
+
  1.4.9.2. Réseau progressif
+
 
+
  1.4.9.3. Malgré certain découragement
+
 
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1.4.10. Regroupement familiale compliqué
+
 
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  1.4.10.1. Surtout pour majeurs
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1.4.11. Importance de maîtrise langue
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  1.4.11.1. Chance d'être prof de francais
+
 
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  1.4.11.2. Exemplarité dora dorës
+
 
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1.4.12. Competence
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  1.4.12.1. Diplome
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  1.4.12.2. Sans diplome
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    1.4.12.2.1. Filière de valorisation
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  1.4.12.3. Non reconnaissance
+
 
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    1.4.12.3.1. Souffrance
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1.4.13. Racisme
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  1.4.13.1. Moindre que ds grandes villes
+
 
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  1.4.13.2. On se connaît plus facilement
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1.4.14. Humiliation
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1.4.15. Malgré accueil à Huy
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  1.4.15.1. Quand même victime
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  1.4.15.2. Desillusion
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  1.4.15.3. Déception de l'évolution du pays
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1.5. Prolongement
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    Volonterre d'asile, le réseau wallon du volontariat des demandeurs d'asile - 21 décembre 2016
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    Le volontariat des demandeurs d’asile, et de toute personne étrangère séjournant légalement sur le territoire, est permis en Belgique depuis 2014. Si l’afflux des réfugiés en 2015 a suscité beaucoup d’engagements citoyens, peu de demandeurs d’asile ont eu l’occasion de s’y essayer jusqu’à présent. La Plateforme Francophone du Volontariat convie les associations de l’action sociale à une recherche-action sur le sujet.
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    Première rencontre : Le 21 décembre 2016 de 9h30 à 12h30 : « Le volontariat des demandeurs d’asile. Partage d’expériences d’ici et d’ailleurs.»
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    Lieu : la salle TAN du CENTRE L’Ilon, Rue des Tanneries  1 à 5000 NAMUR
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    Infos et inscriptions : info@levolontariat.be
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1.6. Réactions racistes ou de rejet
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1.7. Rapport 3
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1.7.1. Viviana
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  1.7.1.1. Sociologue
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    1.7.1.1.1. Souhaite de decouvrir
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      1.7.1.1.1.1. Paris
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      1.7.1.1.1.2. Londre
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      1.7.1.1.1.3. Madrid
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  1.7.1.2. Après 3 enfants
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    1.7.1.2.1. Souhait equivalence
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    1.7.1.2.2. Attente de 18 mois avant cours francais
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    1.7.1.2.3. Subtopic
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  1.7.1.3. Souhait d'aider les autres
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  1.7.1.4. Venue par amour
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    1.7.1.4.1. Difficile ad meme
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      1.7.1.4.1.1. Loin de sa famille
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      1.7.1.4.1.2. Réseau social de son mari seulement
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  1.7.1.5. Dora
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    1.7.1.5.1. Travail sur confiance en soi
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    1.7.1.5.2. Reconnaissance sociale des compétences
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  1.7.1.6. À changer
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    1.7.1.6.1. Réseau social
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    1.7.1.6.2. Connaître assos SPECIALISEES
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    1.7.1.6.3. femmes
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      1.7.1.6.3.1. Plus précaire
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      1.7.1.6.3.2. Garde d'e,gants indispensables
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      1.7.1.6.3.3. On a tous à apprendre les uns les autrees
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      1.7.1.6.3.4. Dire bonjour dans la rue
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1.8. Rapport 4
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1.8.1. Richesse de rencontrer dans diversité des culture
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1.8.2. Apport mutuel riche
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1.8.3. Yemen
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1.8.4. Mexique
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1.8.5. Maroc
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1.8.6. Fuite guerre
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1.8.7. Recherche meilleure vie economique
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1.8.8. Passage par l'Espagne
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1.8.9. Trouver sa place
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1.8.10. Faire valoir ses compétences
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1.8.11. Camera
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1.8.12. Pistes
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  1.8.12.1. Peintre
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1.8.13. Difficulté langue
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  1.8.13.1. Peu de lien social
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  1.8.13.2. Donc pas de pratique
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1.8.14. Difficultés financières
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1.8.15. Rebondir sur qqch d'autre
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  1.8.15.1. Formation cariste après juriste
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  1.8.15.2. Langue moindre frein
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1.8.16. Envie de rester ici
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  1.8.16.1. Les soutenir
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1.8.17. Isolement social
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  1.8.17.1. Différent pour chacun
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  1.8.17.2. Comment sortir vers populations pays d'accueil
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    1.8.17.2.1. Activités sportives ?
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1.9. Debat
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1.9.1. Pas de politiques
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1.9.2. Jugé à trouvé poste d'assistant fac Namur
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1.9.3. Cripel
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  1.9.3.1. Equivalence
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    1.9.3.1.1. Ca bouge
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  1.9.3.2. Gratuite pour refugiés
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  1.9.3.3. Orientation par plan de cohésion sociale
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    1.9.3.3.1. Politique d'intégration
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      1.9.3.3.1.1. Plus d'accueil
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    1.9.3.3.2. Donner moyens aux structures d'accueil des migrants quels qu'ils
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soient
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  1.9.3.4. Travail de longue haleine
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    1.9.3.4.1. Commmunes
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    1.9.3.4.2. Forem
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    1.9.3.4.3. CPAS
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    1.9.3.4.4. Mastodontes
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  1.9.3.5. Remise en question de la part des services d'aide
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    1.9.3.5.1. Cadre
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1.9.4. Peu de représentants politiques
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  1.9.4.1. Une conseillère
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1.9.5. Peu de représentants des services publics
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1.9.6. Combats des assos de conscientisation des services publics
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1.9.7. Hôtel de ville
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1.9.8. Faire bouger les politiques
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  1.9.8.1. Travail citoyen
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  1.9.8.2. Travail du colibri
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  1.9.8.3. Avant parcours
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    1.9.8.3.1. Savoir ce qu'on doit faire
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    1.9.8.3.2. Qui rencontrer
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    1.9.8.3.3. Inconnu
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    1.9.8.3.4. Personne referente
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    1.9.8.3.5. Service prevention
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    1.9.8.3.6. PCS
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    1.9.8.3.7. moyens insuffisants
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      1.9.8.3.7.1. Pour assos
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      1.9.8.3.7.2. Pour services
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1.9.9. Réalité economique
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  1.9.9.1. Moins de travailleurs
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1.9.10. Estime de soi
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  1.9.10.1. Responsabilité personnelle
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    1.9.10.1.1. On ne prend pas le temps de prendre en compte les migrants
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1.9.11. Pas de valorisation du travail
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   1.9.11.1. Pas d'encouragement
 
   1.9.11.1. Pas d'encouragement
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1.6. Réactions racistes ou de rejet
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    Volonterre d'asile, le réseau wallon du volontariat des demandeurs d'asile - 21 décembre 2016
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    Le volontariat des demandeurs d’asile, et de toute personne étrangère séjournant légalement sur le territoire, est permis en Belgique depuis 2014. Si l’afflux des réfugiés en 2015 a suscité beaucoup d’engagements citoyens, peu de demandeurs d’asile ont eu l’occasion de s’y essayer jusqu’à présent. La Plateforme Francophone du Volontariat convie les associations de l’action sociale à une recherche-action sur le sujet.
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    Première rencontre : Le 21 décembre 2016 de 9h30 à 12h30 : « Le volontariat des demandeurs d’asile. Partage d’expériences d’ici et d’ailleurs.»
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    Lieu : la salle TAN du CENTRE L’Ilon, Rue des Tanneries  1 à 5000 NAMUR
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    Infos et inscriptions : info@levolontariat.be
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Version du 19 décembre 2016 à 16:22

Affiche de la rencontre de décembre 2016

Contexte

Dans le cadre de l'exposition "Un visage, une histoire", qui retrace le parcours d'intégration socio-professionnel de femmes et d’hommes issus de l'immigration et que l’http://www.dora-dores.be accompagne au quotidien, cette association a organisé un débat sur la thématique "Venu(e)s d'ailleurs, où sont passées nos compétences ?" L'exposition propose des photographies, vidéos et autres outils de sensibilisation qui aident le visiteur à regarder au-delà des différences. Elle est accessible jusqu'au 6 janvier2017 à l'Hotel de Ville de Huy, du lundi au vendredi de 8h à 12h30 et de 14h à 16h.

L'objectif des organisateurs étaient d'échanger sur l'apport des migrants, afin de combattre les préjugés et de dépasser les obstacles au partage des compétences. Lors de précédentes rencontres ou études, des préjugés furent pointés du doigt dont le plus fréquent est : "Les étrangers sont des profiteurs".

Pour démentir cette perception, il convient d'expliquer que les migrants apportent des ressources, possèdent une expérience, ont exercé un métier, comme celui d'ingénieurs par exemple. Et dans de nombreux cas, sans devoir nécessairement attendre une maîtrise totale de la langue, ils pourraient utiliser leur savoir, leur savoir faire et leur savoir être pour contribuer à l'amélioration du vivre ensemble là où ils arrivent…

Pourquoi ne pas leur proposer des stages afin de faire la preuve de leurs aptitudes à exercer un métier, avant même de voir aboutir leur demande d'équivalence des diplômes ? Pour prouver leur formation, il faut aller chercher les preuves de leur formation ou de leur expérience dans pays en guerre, ce qui rend bien entendu périlleux et même parfois impossible de les réunir.

La Belgique pourrait s'inspirer de la Suisse ou de l'Allemagne, qui accueillent les migrants en tenant compte de leur expérience, plus facile à prouver sans attendre de preuves administratives.

Même le permis de conduire est difficile à repasser dans le nouveau pays, car le code peut être différent.

La plupart d'entre eux ont reçu une formation initiale, professionnelle et citoyenne, qu'ils ne demandent qu'à partager !

Rencontre de témoins issus de la migration

Plusieurs témoins confièrent aux participants leurs parcours qui leur a permis d'aller à la rencontre de la population de la région, avec la volonté de partager leurs ressources, leurs compétences, au service de la collectivité.

L'assemblée répartie par petits groupes eut le plaisir d'entendre les témoignages d'Hamide Canolli, Comptable de formation, venant du Kosovo, de Mohamed Souleyman, Syrien, Professeur de français puis inspecteur de pédagogie dans son pays d'origine, de Paola Gillen, Bolivienne, qui était Administratrice d'institution sociale et culturelle, de Viviana Montolevo, Bolivienne qui transita par l'Espagne avant d'arriver à Huy, et qui était Animatrice en Maison de Jeunes. D'autres personnes apportèrent également leur témoignage.

Apports des débats en sous-groupes

Premier groupe, avec Paola comme témoin

"La fragilité de départ (constituée par l'arrivée dans un pays inconnu) entraîne une peur qui souvent isole. Si cette peur est normale, elle ne doit pas nous empêcher d'aller chercher les informations nécessaires à notre intégration" Mais où aller ? Si Dora Dorës se pose comme pièce centrale sur l'échiquier du réseau social hutois, force est de constater que les informations restent encore difficile à trouver. Cependant, le caractère et la volonté peuvent jouer le rôle de boost et ainsi mettre en route cette quête de renseignements. L'essentiel étant que nous, partenaires, services sociaux, services publics, ne devons pas passer à côté du travail à effectuer sur l'"estime de soi". Il est important de reconnaître en l'autre ses compétences qu'il peut mettre à la disposition de notre/la communauté. Indispensable aussi de recréer du lien social, par exemple en participants à des groupes de paroles organisés par Dora Dorës.

Vient aussi la problématique de la reconnaissance/équivalence des diplômes. Obtenir la bonne information n'est pas compliqué mais le chemin à parcourir pour obtenir cette reconnaissance/équivalence est très difficile. (on parle de validation des compétences et/ou de valorisation des acquis).

Enfin, le groupe a repris l'exemple de certains pays scandinaves qui en matière d'intégration, visent plutôt les compétences des personnes que leurs formations, souhaitant avant tout que ces personnes trouvent rapidement un emploi et montrent rapidement leur volonté de s'intégrer en exerçant un métier valorisant et valorisé, sans devoir se limiter aux tâches ne nécessitant que très peu de formation ou d'expérience.

Le travail d'identification des organismes de valorisation des compétences ou de soutien à l'accueil a été effectué ; encore faut-il communiquer l'information efficacement.

Deuxième groupe, avec Soleyman

Troisième groupe avec Viviana

Quatrième groupe avec Hamide

Débat final

L'assistance regrette l'absence des élus (une conseillère communale est restée cependant toute la soirée) dans cette salle de l'Hôtel de Ville de Huy… Certains pointent le peu de participation des associations ou services en rapport avec les migrants.

Le Cripel est cependant officiellement représenté. Il distribue notamment des informations concernant l'équivalence des diplômes. Il semble que cela bouge à ce niveau. La consultation y est gratuite pour les réfugiés. Il seraient souhaitable que la gratuité soit également accordée aux migrants non réfugiés.

Une orientation est également proposée par le plan de cohésion sociale, qui définit une politique d'intégration plus axée sur l'accueil. Mais c'est l'ensemble des structures d'accueil des migrants qui doivent recevoir les moyens nécessaires à leurs missions.

Faire sa place dans un nouveau pays est un travail de longue haleine, car il faut passer par les administrations communales, du Forem, des CPAS, qui peuvent évoquer des mastodontes pour les migrants.

Certains services sont d'ailleurs aujourd'hui remis en question.

Le combat des associations pour la conscientisation des services publics est plus que jamais nécessaire. L'action citoyenne doit aussi réveiller les élus et leur prouver toute l'importance que requiert la situation des migrants.

Avant même le parcours d'accueil, dès que le migrant arrive, il doit savoir ce qu'il doit faire, connaître "les premiers gestes" : qui rencontrer ? L'idéal serait de désigner une personne référente susceptible de l'accompagner dans ses démarches. Sur notre territoire, le Service prévention et le Plan de Cohésion Sociale apportent une aide, mais les moyens sont insuffisants pour tous les services et les associations actives. La réalité économique implique que moins de travailleurs sont disponibles pour cette mission.

Un accueil de qualité nécessiterait qu'on prenne le temps de se consacrer aux migrants, sans négliger les aspects humains du métier.

Les travailleurs ne se sentent pas non plus valorisés dans leur travail.

 1.9.11.1. Pas d'encouragement
 1.9.11.2. Meilleure dynamique avec bourgmestre ?
   1.9.11.2.1. Peu de motivation interne

1.9.12. Importance de l'accueil

1.9.13. Croix rouge

 1.9.13.1. Cours de francais
 1.9.13.2. Préparer à la rencontre des populations
 1.9.13.3. Manque de moyen

1.9.14. Manque d'infos sur ressources disponibles

 1.9.14.1. Feuille du service population
   1.9.14.1.1. Collaborer
   1.9.14.1.2. Réoriente vers CRIPEL
     1.9.14.1.2.1. A généraliser
     1.9.14.1.2.2. Subtopic
   1.9.14.1.3. Quid sur HUY
     1.9.14.1.3.1. Convocation vers dora dorës
   1.9.14.1.4. Primo,arrivant 
     1.9.14.1.4.1. Envoyer rapport systématiquement 
   1.9.14.1.5. Motivé à distribuer
   1.9.14.1.6. Un ou deux pour tous les migrants
     1.9.14.1.6.1. Debordes
     1.9.14.1.6.2. Mais formés
       1.9.14.1.6.2.1. Peu de temps disponible
 1.9.14.2. Guide dora dorës

1.9.15. Filières de competences

 1.9.15.1. FWB



1.6. Réactions racistes ou de rejet



1.5. Prolongement

   Volonterre d'asile, le réseau wallon du volontariat des demandeurs d'asile - 21 décembre 2016
    
   Le volontariat des demandeurs d’asile, et de toute personne étrangère séjournant légalement sur le territoire, est permis en Belgique depuis 2014. Si l’afflux des réfugiés en 2015 a suscité beaucoup d’engagements citoyens, peu de demandeurs d’asile ont eu l’occasion de s’y essayer jusqu’à présent. La Plateforme Francophone du Volontariat convie les associations de l’action sociale à une recherche-action sur le sujet.
   
   Première rencontre : Le 21 décembre 2016 de 9h30 à 12h30 : « Le volontariat des demandeurs d’asile. Partage d’expériences d’ici et d’ailleurs.»
   Lieu : la salle TAN du CENTRE L’Ilon, Rue des Tanneries  1 à 5000 NAMUR
   Infos et inscriptions : info@levolontariat.be