Commerces et artisanats Warzée

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Warzée, commerces et métiers classés par rues et par numéros.

Certains noms sont repris dans les almanachs du commerce et de l’industrie de 1857 et/ou de 1878 (AC), dans les annuaires Mertens de 1900 et/ou 1937 (AM) et dans « Plan et matrices Popp » de la 2de moitié du XIXème S (PP)

D’autres personnes ont tenu un commerce à Warzée mais soit on ne sait pas où elles ont exercé leur activité, soit on ignore tout simplement leur nom …


Rue du Baty



Au n° 2

François Dedave, kinésithérapeute

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Au n° 7

Joseph Lamarche (Ac, Am et PP), maçon

Marylène Therer (épse Gérard Simon), vente de laine/tissus/Machines à coudre de ± 1980 à ± 1990

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Au n° 8

Ernest Limet, marchand de machines agricoles M Limet est né à Clavier le 17 mai 1911.

Il a épousé Mariette Dubois à Ellemelle le 10 janvier 1936 et ils se sont installés à Warzée le 22 septembre 1942

La première grosse machine agricole que M Limet a reçue est arrivée en pièces détachées. Il l’a montée dans son garage puis s’est aperçu qu’il était impossible de la sortir. Il a fallu remonter la porte du garage.

M Limet exercera ensuite tige de Hody n° 4 puis Grand Route n° 56


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Au n° 10

Louis Delcourt, transporteur de bêtes puis distributeur de mazout (BP)

Vue aérienne
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Au n° 12

?, chaufournier

Edmond Anciaux, vendeur d’aliments/engrais (Boerenbond)

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Béemont

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Au n° 10

Ferme équestre appartenant à la société Equifairplay asbl

N° d’entreprise : BE0547.774.242

Début des activités : mars 2016

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Au n° 10B Pascal Halleux et Marie-Claude Marcotty, restaurant « Le Campagnard »

Ouvert en 1989

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Au n° 10C Pascal Halleux et Marie-Claude Marcotty,

gîtes ouverts un peu après le restaurant.

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Rue de Bende





Au n° 2

              Arthur Lamarche (AC et AM), maçon et sabotier
              C’est M Lamarche qui a construit la maison. En hiver, faute de travail de maçonnerie, il faisait des sabots en bouleau. Il coupait les bouleaux à la longueur des sabots puis avec une grande lame attachée à une poignée par un anneau, il tranchait son bois pour façonner l’extérieur des sabots. Enfin, avec une gouge, il creusait l’intérieur.
              Joseph Paris, marchand de bêtes
              Après un certain temps, M Paris ira travailler à Cockerill

Au n° 3

              Jules Dawance, marchand de cochons
              M Dawance transportait les cochons à vélo, dans des sacs
              Il travaillait aussi dans un moulin situé entre Jenneret et Ocquier

Au n° 4

              Alphonse Coulée, apiculteur
              Lors d’une bonne saison, les abeilles rapportaient 40.000 F, soit plus que les vaches