Commerces Rue Haïre Ouffet : Différence entre versions

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'''La poterie de la rue Haïre'''
 
'''La poterie de la rue Haïre'''
  
Cette industrie prospère, qui compta jusque 25 ouvriers en plus de la main d'œuvre familiale, fut fondée vers 1800 par la famille Damoiseau. Nous avons un doute pour la situer exactement dans la rue et nous continuons les recherches. '''[[Ouffet, poterie|En savoir plus]]'''
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Cette industrie prospère, qui compta jusque 25 ouvriers en plus de la main d'œuvre familiale, fut fondée vers 1800 par la famille Damoiseau. Il semblerait qu'elle était installée au N°41 où l'on a retrouvé d'importantes quantités de déchets de poterie lors de travaux effectués dans cette maison en 1980. '''[[Ouffet, poterie|En savoir plus]]'''
  
 
[[Fichier:Capture 201.JPG|vignette|gauche|Rue Haîre Walonmap]]
 
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Version du 20 mars 2019 à 15:30

Dernière mise à jour 23.09.2017

La poterie de la rue Haïre

Cette industrie prospère, qui compta jusque 25 ouvriers en plus de la main d'œuvre familiale, fut fondée vers 1800 par la famille Damoiseau. Il semblerait qu'elle était installée au N°41 où l'on a retrouvé d'importantes quantités de déchets de poterie lors de travaux effectués dans cette maison en 1980. En savoir plus

Rue Haîre Walonmap

Au N° 1 Frans Maréchal époux de Paula Paye exploitera une boucherie. Au décès de son mari, Paula se remarie avec Ernest Rasquin lui-même veuf de Marguerite Beaufrère, ces derniers tenaient un café restaurant Rue Sauvenière, 2. Toujours au N° 1 de la Rue du Perron, Michel Genon exploitera un salon de coiffure. Ce sera ensuite et encore actuellement une habitation privée.

La rue Haïre avec la chapelle St.Donat

Au N° 3 Entreprise de maçonnerie Georges Collette époux de Clémence Tambour. Ses fils Amand époux de Mireille Lecrenier et Robert époux d’Yvette Bourdouxhe poursuivront l’activité de leur père. Au décès de Robert, Amand continuera encore l’entreprise jusqu’en 2015. Actuellement, résidence privée.

Au N° 6 Il y a eu une siroperie exploitée par Ovide Collette dit « Bibi ». Célibataire, il est aidé par sa sœur Eva et une nièce, Hermance Collette. En savoir plus

Au N° 15 Il y avait une petite épicerie gérée par Laure Ledent épouse de Léon Harzimont. Ce commerce a cessé avec l'implantation du magasin de l'Union Coopérative dans la Rue du Village.

Une vue de la rue Haïre avec, à gauche, la chapelle St. Donat et à droite l'ancienne siroperie
La rue Haïre, descente vers la Grand-Place

Au N° 23 Octave Dengis et son épouse Valérie Defour exploite le salon "Esthétique Canin".

Au N° 31 Cordonnerie et maroquinerie Julien Lahaye époux d’Odette Blétard.

Au N° 33 Dès 1890, épicerie tenue par Eva Dawance, célibataire et Maria Terwagne épouse de Mauril Dawance . Ce dernier exploitait un moulin au N°4 de la Rue du Village. Louise Dawance, la fille de Mauril et Maria, continueront toutes deux à exploiter l’épicerie. L’époux de Louise, Omer Grogna, succèdera à Mauril au moulin de la Rue du Village.

Au N° 39 (En face du), actuellement à usage de garage . Georges Lamer, plombier zingueur avait son atelier avant de l’installer Rue Es Tô.


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