ERARD DE BRION : Différence entre versions

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(rubriques: SA VIE DE FAMILLE, PROVOCATION, DUEL)
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==UNE PROVOCATION EN DUEL==
 
==UNE PROVOCATION EN DUEL==
  
Le 17 juin 1613, Ferdinand de BILLEHE, qui avait prévenu de BRION la veille ''au moyen d'un cartel pour un duel à l'épée et à la dague'', arriva à Ahin avec une petite troupe  formée par son frère Francisque, 2 serviteurs, 2 soldats, les seigneurs de SOLRE et de SPONTIN DE GLYMES avec 5 domestiques. Mais là, surprise totale, de BRION n'avait pas reçu la notification de duel. Il essaya de demander un report de 24 heures, qui lui fut refusé et finit par accepter de se rendre à la campagne au lieu désigné.
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Le 17 juin 1613, Ferdinand de BILLEHE, qui avait prévenu de BRION la veille ''au moyen d'un cartel pour un duel à l'épée et à la dague'', arriva à Ahin avec une petite troupe  formée par son frère Francisque, 2 serviteurs, 2 soldats, les seigneurs de SOLRE et de SPONTIN DE GLYMES avec 5 domestiques. Mais là, surprise totale, de BRION n'avait pas reçu la notification de duel. Il essaya de demander un report de 24 heures, qui lui fut refusé et finit par accepter de se rendre à la campagne au lieu désigné, Nalonsart, près de Huy.
  
  
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==LE COUPABLE ET SON PROCES==
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==LA FUITE DU COUPABLE==
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Immédiatement après ces faits, Mr de BRION alla se réfugier chez son cousin Mr de POTTIERS à Tihange. Il y eut une entrevue avec son épouse et il osa lui déclarer qu'il avait agi pour sauver sa vie car il était menacé par les armes à feu de la troupe de Vierset -(qui n'avaient probablement que des épées et des dagues!). Les beaux-frères de BILLEHE  obtinrent entretemps à Liège -(car le combat avait eu lieu sur le territoire hutois, donc liégeois)- d'un décret de capture contre lui. Il ne tarda pas à prendre la fuite, seul, sans sa femme, vers l'abbaye française de St-Michel. Quant à Marguerite-Antoinette, abandonnée à Ahin, elle se mit en tête de proposer Namur comme siège du jugement. Les BILLEHE, eux, découvrirent où BRION se cachait et se mirent en route pour aller le capturer et même le tuer si il faisait opposition à son arrestation , comme l'autorisait le décret de capture. Erard de BRION fila se cacher pendant 1 an à Mandeure, dans le château de l'archevêque de Briançon.
  
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==LES BIENS D'AHIN==
 
==LES BIENS D'AHIN==
  
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L'archiduc ALBERT avait ordonné au conseil provincial de Namur de permettre à Mme de BRION de conserver la possession provisoire du château d'Ahin. Cette dernière continua donc à y vivre, soutenue par ses amis les de BELLEJOYEUSE. Le 22 décembre 1614, un nouvel arrêt du Gand Conseil de Malines avait été obtenu par les BILLEHE et les SPONTIN : BRION était condamné à avoir la tête tranchée par l'épée (subsidiairement au bannissement) et à la '''confiscation des biens.''' Entretemps, Marguerite obtint du Grand Conseil de Malines de ne pas être inquiétée quant à la possession de se biens, la confiscation étant contraire aux coutumes locales. Elle ferma donc sa porte au nez des huissiers.
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==LA FIN DE MADAME de BRION-BILLEHE
 
==LA FIN DE MADAME de BRION-BILLEHE
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Mis au courant par le comte de Bellejoyeuse des décisions de justice, BRION se mit en rapport avec son épouse et lui expliqua qu'il avait décidé d'aller voyager en Italie, oùje pourrais être victime d'un accident malchanceux et comme "vous n'êtes pas en trop bonne santé nous allons régler ensemble nos propositions testamentaires". Et ils le firent, le 18 janvier 1615, sous la forme d'une donation entre vifs. Marguerite y ajouta un testament. Minée par la maladie, elle entreprit d'écrire ses volumineux mémoires dans le but d'assurer le sort de son mari. Les originaux devaient être soumis aux Altesse espagnoles qui gouvernaient le pays.
  
 
pages 138 à (143 manque) 153 VII
 
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Version du 5 mai 2023 à 21:39


                                                                 page en construction, merci de bien vouloir patienter
L'entrée du parc du château dit "de Van Zuylen" à Ben-Ahin, Huy



SON ORIGINE

La famille d'AUBRION, d'AMBRION, d'ALBRION, d' ABRION ou de BRION semble être originaire de Liège au XIVe siècle. Il s'est avéré au cours des siècles que la lignée de BRION n'a jamais été noble. Les ancêtres d'Erard de Brion se sont enrichis par le commerce et ont occupé des charges dans la magistrature. Le premier cité dans les parchemins est un certain Johan ABRION, apothicaire, manant, demeurant sous le Pont d'Isle à Liège. De très grande fortune, il était parfaitement en cour près du prince-évêque Louis de Bourbon. EN 1468, un Johan ABRION était devenu propriétaire du bien féodal d'Avin.

A partir de là, l'auteur remarqua que la plupart des parchemins présentent des signes évidents d'altérations de nom et de qualité. on a, par exemple, effacé la lettre "A" d'Abrion pour y substituer la particule "de".

Erard de BRION était né en 1581, baptizé en lenglise parochialle de BENS et AHIN par Jan BADOULLE, curé et pasteur. Comme seigneur d'AHIN, de RESIMONT, de MARZINE, etc, il choisit le métier des armes, se distingua au siège d'Ostende et obtint le grade de colonel. Il épousa Marguerite-Antoinette de BILLEHE, fille de l'avoué de HUY, Charles de BILLEHE, seigneur de VIERSET. [voir la page WikiHuy: L'AVOUERIE DE HUY ].

                                                                                Mais il était hautain et cruel...

SES SAUTES D'HUMEUR, SES BAGARRES, SES CRIMES IMPUNIS

Les faits qui suivent eurent lieu entre 1606 et 1613.

-Monsieur RENESSE, un allié de la famille de BILLEHE eut un jour le malheur de critiquer ouvertement sa conduite. Quand ERARD l'apprit, il se précipita au château de RENESSE à Vierset et tenta de l'égorger au lit, mais quelques personnes présentes s'interposèrent, alors que la victime baignait déjà dans son sang, blessure dont il finit d'ailleurs par décéder mais 5 ans plus tard, il est vrai...La justice de Liège, dont Vierset était un territoire, décida de punir...la victime. RENESSE perdit son emploi et sa pension. Et, ce, grâce au grand crédit dont de BRION jouissait auprès de la cour épiscopale!

-Un domestique d'Erard de BRION, Louis HANCON, dit RAGAE, rapporta qu'un beau jour, son maître le conduisit dans la campagne et lui mit le pistolet au visage en le menaçant de le tuer s'il ne lui répondait pas à sa question, qui était de savoir si son secrétaire particulier BOURGEOIS n'avait pas de rapports avec son épouse ou avec mademoiselle HAXHE, une de ses servantes préférées. La victime répondit qu'il n'en savait rien et le furieux seigneur lui cogna son arme contre la bouche, le faisant saigner par les dents...

-Le même HANCON fut aussi témoin d'un crime probablement commis par son maître: le sergent THYS de monsieur de LÖEN du château de Huy vint un jour à AHIN avec un message de son maître au sujet d'un chien qu'il avait trouvé et qu'il supposait appartenir à de BRION. Ce dernier, qui détestait de LOËN au plus haut point, conçut de se venger sur cet émissaire. Il le reçut à sa table, le fit beaucoup boire puis lui proposa de le ramener jusqu'aux limites du domaine. HANCON les accompagnait. Arrivé en dessous du bois de St-Léonard, ERARD proposa au sergent de vider le différend en lieu et place de son chef. Comme le soldat refusait, le seigneur s'empara de l'arquebuse de son domestique en lui enjoignant d'aller chercher son épée au château. A peine eut-il tourné le dos qu'il entendit une détonation. Quand il revint avec l'épée, il vit le malheureux THYS se tordant à terre, le coup de l'arquebuse l'avait atteint au ventre. L'explication de de BRION fut que ce sergent avait essayé de le tuer, mais le domestique vit que la victime portait toujours attachée à son écharpe et que sa dague se trouvait également dans son fourreau! La victime parvint quand même à se traîner jusqu'à une habitation où elle mourut quelques jours après. La justice décida d'accorder une indemnité à sa veuve et à ses enfants et... de ne pas inquiéter Erard de BRION!

-Un beau-frère de de BRION, le baron lieutenant-colonel de BILLEHE, écrivit dans un manifeste qu'un gentilhomme de Flandre, Jean de GRYSPERE, ayant soupé un soir avec le seigneur d'AHIN, celui-ci, accompagné de plusieurs de ses "gens" en arme, le ramena vers sa maison, lui chercha querelle et le tua et le fit jeter dans une cave. Selon, madame de BRION, qui voulait toujours défendre ce mari qu'elle aimait, certifia dans un écrit intitulé: " pour contredire un livret imprimé de bourdes et d'inventions de mes frères", qu'une somme d'argent avait été versée à la famille.

-Le même HANCON, déjà cité, raconta également que s'étant un jour rendu à Java dans leurs vignobles avec son maître, l'ouvrier-vigneron stattois Jehan HACQUIN réclama à de BRION des sommes impayées. Celui-ci prit la mouche et le frappa furieusement sur la tête, les bras, les jambes avec un bâton qui finit par se rompre, puis son cheval le foula des pieds et le fit tomber dans un étang, où il fut encore menacé de la dague et encore roué d'autres coups de bâton. Et là encore, madame de BRION excusa son cher mari en déclarant qu'il avait simplement voulu lui faire peur, que le vigneron était déjà fort handicapé avant cela et que, de toute manière, il avait fini par être "récompensé".

-Un couvreur de MARSINE, paroisse de COUTHUIN, Jacques de MARLAIRE eut aussi maille à partir avec le cruel Erard, car son petit héritage joignait les terres de BRION. Il jouissait sur elles d'une servitude de passage que le seigneur se mit en tête de supprimer malgré les réclamations du pauvre villageois, apparemment infirme. Il le rencontra sur la campagne d'Envoz , lui cassa sa béquille sur le dos et le bras, le jeta par terre avec son épée, lui mit son genou sur le ventre et le frappa à la tête du plat de son arme. Il le menaça d'envoyer son chasseur à Marsinne lui "arracher" sa femme et lui fit intimer par son secrétaire Bourgeois l'ordre de quitter Couthuin, sinon il irait lui-même les expulser, le mari par la barbe et la femme par les cheveux ! Les malheureux prirent peur et quittèrent leur maison pour aller s'établir à SEILLES.


                       De nombreux autres faits (et méfaits!) figurent encore dans le livre de Jules FRESON. Ils se rapportent à la période d'avant 1606. 
                                       Nous conseillons à nos lecteurs d'aller les consulter dans notre source, citée en bas de cette page.

SA VIE DE FAMILLE

L'épouse d'Erard subissait sans broncher la méchanceté de son mari. Dans une correspondance volumineuse, elle assurait qu'il la traitait toujours avec égards et que c'était à sa jalousie excessive à elle qu'il fallait attribuer tous les "désastres survenus par la suite". Mais tout cela avait été écrit sous l'influence de son seigneur et maître!

Un grand nombre de témoins dignes de foi rapportèrent plus tard la vie de martyre que cette femme faible de caractère et amoureuse avait vécue. Il y avait un ménage à 3 au château d'Ahin, car Erard s'était épris d'une des servantes, mademoiselle Haxhe et s'affichait sans vergogne avec elle, lui écrivait des lettres enflammées (dont la plupart tombèrent entre les mains de Marguerite-Antoinette), lui payait des bijoux de grande valeur (dont certains provenaient de sa belle-famille les de BILLEHE). Lorsque la douce dame de BRION commença à faire des reproches à son mari, celui-ci l'invectiva, la rudoya et la frappa. Il s'emportait parfois en lui lançant, des escabelles, des poignards et même en tentant de l'étrangler au point de lui laisser des marques au cou et à la gorge. Un jour, il la jeta dans un vivier et une autre fois sur un feu.

La brave dame finit par décider de mettre ses frères au courant de tout ce qu'elle devait subir chez elle. Ceux-ci commencèrent par faire emmener la servante dans un cloître à Louvain , avec l'aide d'amis Capucins de Huy. De BRION entra en colère, alla injurier chez eux les Capucins et, sous la menace, obligea sa femme à accepter le retour de mademoiselle HACKE au château. Les frères de BILLEHE décidèrent alors leur soeur à quitter son époux et à aller vivre dans un couvent à Bruxelles. Elle accepta et y resta 15 jours, mais ERARD vint l'y trouver et demanda la réconciliation, qui fut...acceptée. En attendant, la servante reprenait le voile.

De retour au château, les taquineries et tracasseries de l'époux envers sa femme reprirent de plus belle, il l'accusait de l'avoir trompée avec un de ses amis pour pouvoir s'enfuir du château, il lui reprochait d'avoir envoyé à Vierset, à ses frères, des lettres et des obligations importantes qu'il récupérerait à tout prix.


UNE PROVOCATION EN DUEL

Le 17 juin 1613, Ferdinand de BILLEHE, qui avait prévenu de BRION la veille au moyen d'un cartel pour un duel à l'épée et à la dague, arriva à Ahin avec une petite troupe formée par son frère Francisque, 2 serviteurs, 2 soldats, les seigneurs de SOLRE et de SPONTIN DE GLYMES avec 5 domestiques. Mais là, surprise totale, de BRION n'avait pas reçu la notification de duel. Il essaya de demander un report de 24 heures, qui lui fut refusé et finit par accepter de se rendre à la campagne au lieu désigné, Nalonsart, près de Huy.


UN DUEL OU, PLUTÔT, UN COMBAT A ARMES INEGALES

BRION monta à cheval, disant qu'il n'allait pas pour se battre, mais bien pour voir de quoi il s'agissait, il emmenait avec lui 4 domestiques et un caporal coutumier de sa maison. Tous étaient armés de 2 pistolets et d'une arquebuse en bandoulière. Arrivé en vue de la "troupe" adverse, le seigneur d'Ahin envoya son "conducteur" pour que le sire de Vierset retire sa bande et ne laisse que 5 hommes pour ensuite s'approcher et parlementer. Il continua cependant à avancer, en déclarant qu'il ne voulait pas d'un duel mais d'un combat à cheval et aussi que l'on lui laisse le choix des armes. Le seigneur de SOLRE, qui était le seul encore à cheval du côté adverse, s'approcha de BRION pour l'arrêter et celui-ci lui tira un coup d'arquebuse qui ne fit que le blesser au visage. Aussitôt, les compagnons du seigneur d'Ahin se mirent à décharger leurs armes sur la troupe de BILLEHE. Monsieur de SPONTIN fut tué et de SOLRE blessé encore deux fois. BRION se rua ensuite vers Ferdinand de BILLEHE, son beau-frère , et lui fracassa le crâne de 2 coups de pistolet.


LA FUITE DU COUPABLE

Immédiatement après ces faits, Mr de BRION alla se réfugier chez son cousin Mr de POTTIERS à Tihange. Il y eut une entrevue avec son épouse et il osa lui déclarer qu'il avait agi pour sauver sa vie car il était menacé par les armes à feu de la troupe de Vierset -(qui n'avaient probablement que des épées et des dagues!). Les beaux-frères de BILLEHE obtinrent entretemps à Liège -(car le combat avait eu lieu sur le territoire hutois, donc liégeois)- d'un décret de capture contre lui. Il ne tarda pas à prendre la fuite, seul, sans sa femme, vers l'abbaye française de St-Michel. Quant à Marguerite-Antoinette, abandonnée à Ahin, elle se mit en tête de proposer Namur comme siège du jugement. Les BILLEHE, eux, découvrirent où BRION se cachait et se mirent en route pour aller le capturer et même le tuer si il faisait opposition à son arrestation , comme l'autorisait le décret de capture. Erard de BRION fila se cacher pendant 1 an à Mandeure, dans le château de l'archevêque de Briançon.


LES BIENS D'AHIN

L'archiduc ALBERT avait ordonné au conseil provincial de Namur de permettre à Mme de BRION de conserver la possession provisoire du château d'Ahin. Cette dernière continua donc à y vivre, soutenue par ses amis les de BELLEJOYEUSE. Le 22 décembre 1614, un nouvel arrêt du Gand Conseil de Malines avait été obtenu par les BILLEHE et les SPONTIN : BRION était condamné à avoir la tête tranchée par l'épée (subsidiairement au bannissement) et à la confiscation des biens. Entretemps, Marguerite obtint du Grand Conseil de Malines de ne pas être inquiétée quant à la possession de se biens, la confiscation étant contraire aux coutumes locales. Elle ferma donc sa porte au nez des huissiers.


==LA FIN DE MADAME de BRION-BILLEHE

Mis au courant par le comte de Bellejoyeuse des décisions de justice, BRION se mit en rapport avec son épouse et lui expliqua qu'il avait décidé d'aller voyager en Italie, oùje pourrais être victime d'un accident malchanceux et comme "vous n'êtes pas en trop bonne santé nous allons régler ensemble nos propositions testamentaires". Et ils le firent, le 18 janvier 1615, sous la forme d'une donation entre vifs. Marguerite y ajouta un testament. Minée par la maladie, elle entreprit d'écrire ses volumineux mémoires dans le but d'assurer le sort de son mari. Les originaux devaient être soumis aux Altesse espagnoles qui gouvernaient le pays.

pages 138 à (143 manque) 153 VII

CONFISCATION DES BIENS

pages 154 à 174 VIII

BRION SE DEFEND

pages 175 à 179 IX

BRION EN PROCES

pages 180 à 206 X

COMPLOT CONTRE BRION

pages 207 à 209 XI

LA GRÂCE POUR BRION

pages 210 à 219 XII

ON EN VEUT A BRION

pages 220 à 244 XIII

LE SECOND MARIAGE DE BRION

pages 245 à 253 XIV

REPRISE DU PROCES EN DIFFAMATION

pages 254 à 284 XV

BRION REPREND DU SERVICE

pages 285 à 296 XVI

LE FAUX PARDON

pages 297 à 301 XVII

VERS UNE REVISION DU PROCES

pages 302 à 316 XVIII

BRION RECUPERE AHIN ET ST-LEONARD

pages 317 à 319 XIX

UN ASSASSINAT A AHIN

pages 320 à 321 XX

ACTION EN REVISION DU PROCES BRION

pages 322 à 343 XXI

DEUX EXECUTIONS CAPITALES A NAMUR

pages 344 à 350 XXII

BRION GRÂCIE PAR L'EMPEREUR

pages 351 à 400 XXIII

BRION PENSE A TESTER

pages 401 à 410 XXIV

LES DROITS SEIGNEURIAUX DE BRION A AHIN

pages 411 à 412 XXV

LES DERNIERS MOMENTS DE BRION

pages 413 à 419 XXVI

LE TESTAMENT DE BRION

pages 420 à 434 XXVII

UN DE VALENGIN A AHIN

pages 433 à 447 XXVIII

PROCES ENTRE LES VALENGIN

pages 448 à 457 XXIX

VALENGIN ACQUIERT DES DROITS DES DE BEAUFORT

pages 458 à 459 XXX

PROCES ENVERS LES ARMOIRIES DE BRION

pages 460 à 474 XXXI

VENGEANCE AU CHÂTEAU D'AHIN

pages 475 à 482 XXXII

ON VEUT CHASSER D'AHIN LA VEUVE D'ERARD DE BRION

pages 483 à 487 XXXIIII

TRANSACTION ENTRE LA VEUVE BRION ET LA FAMILLE VALENGIN

pages 488 à 493 XXXIV

REVOCATION D'UNE DONATION AUX VALENGIN D'ARBERG PAR LA VEUVE BRION

pages 494 à 498 XXXV


UNE DUEL A LIEGE

pages 499 à 505 XXXVI

LES VALENGIN D'ARBERG S'EMPARENT D'UNE MAISON A HUY

pages 506 à 520 XXXVII

VALENGIN D'ARBERG FAIT RELIEF SUR UNE MAISON A HUY

pages 521 à 522 XXXVIII

CONCLUSION SUR LA JUSTICE AU XVIIe SIECLE

pages 523 à 525 XXXIX

==NOTES: HISTORIQUE D'AHIN-DE BEAUFORT-DE BRION-D'HEPPIGNIES ET COPIES DE DOCUMENTS JUDICIAIRES DE 1613-1616-1618-1627-1631-1632-1639 + UN CHAPITRE SUR LES SUCCESSEURS D'ERARD DE BRION, DERNIER DU NOM.




SOURCE PRINCIPALE

Mr le Juge d'Instruction à Huy Jules FRESON La Justice au XVIIe siècle dans le comté de Namur in Annales de l'Académie Tome XXIX 2e série, tome IX-Librairie Européenne de C.Muquardt/ Bruxelles 1873